Enquête – ADEME : l’écologie sous haute influence

Enquête – ADEME : l’écologie sous haute influence

Ils prétendent sauver la planète, mais organisent la pénitence nationale. Derrière les discours lisses sur la « transition écologique », l’ADEME s’est muée en agence d’ingénierie sociale, pilotée par des proches du pouvoir et alimentée par un budget de 4,2 milliards d’euros. Véritable bras armé de la doctrine verte, elle impose un mode de vie décroissant, culpabilisateur et hors-sol, alors même que l’impact climatique de la France, à lui seul, nécessiterait 3,7 millions d’années pour provoquer un degré de réchauffement. Enquête sur une institution devenue le ministère officieux de la contrainte écologique.

Sortir du cauchemar : pour une reconquête démocratique, sociale et humaine

Sortir du cauchemar : pour une reconquête démocratique, sociale et humaine

On ne respire plus. Ni librement, ni pleinement.
En quelques années, la France a glissé d’un pays de droits vers une société de contraintes. Au nom du climat, de la dette ou du progrès, on restreint nos libertés, on surveille nos choix, on culpabilise nos modes de vie. Logement, voiture, chauffage, alimentation, parole : tout devient suspect.
Le cauchemar avance masqué.
Il est temps d’ouvrir les yeux — et de reprendre la main.

Appartement trop grand, voiture trop vieille, liberté trop large : comment l’écologie est devenue le masque d’un déclin français

Appartement trop grand, voiture trop vieille, liberté trop large : comment l’écologie est devenue le masque d’un déclin français

Et si demain, on vous reprochait de vivre dans un appartement trop grand, de rouler dans une voiture trop vieille, ou simplement de vouloir rester libre ?

Sous couvert de transition écologique, la France glisse lentement vers un modèle de société où l’on culpabilise, contrôle et restreint. Pendant que les services publics s’effondrent, que l’industrie disparaît et que la dette explose, on traque le citoyen ordinaire au nom du climat. Derrière les mots verts, une autre réalité se dessine : celle d’un peuple surveillé, appauvri, et de moins en moins libre.

“Vous vivez dans un logement trop grand” : le nouveau cheval de Troie de la contrainte verte

“Vous vivez dans un logement trop grand” : le nouveau cheval de Troie de la contrainte verte

la voiture, la viande, la chaudière, voici venu le tour de vos murs.
Votre logement est désormais trop spacieux. Trop chauffé. Trop individuel.
Le message est clair : il va falloir déménager… ou payer.
Vous pensiez être chez vous ? Pas si sûr.

Climat : quand les médias du Macronistan culpabilisent les Français à coups de demi-vérités

Climat : quand les médias du Macronistan culpabilisent les Français à coups de demi-vérités

On vous dit que vous polluez trop. Que votre vie quotidienne, vos trajets, vos vacances détruisent la planète. Ce qu’on ne vous dit pas, c’est que cette culpabilité organisée repose sur une moyenne mondiale biaisée, une arnaque statistique au service d’un récit politique. Bienvenue dans le Macronistan médiatique, où le citoyen paie pendant que les vrais pollueurs rient.

Climat : La grande imposture verte

Climat : La grande imposture verte

La France représente moins de 1 % des émissions mondiales de CO₂. Et pourtant, elle impose à sa population les mesures climatiques les plus contraignantes d’Europe. Pourquoi sacrifier notre liberté, notre mobilité et notre économie pour un impact climatique quasi nul ? Derrière la morale verte se cache une mécanique implacable : celle d’un pouvoir qui avance masqué au nom du climat.

Canicules : deux siècles de chaleur… et de manipulation climatique

Canicules : deux siècles de chaleur… et de manipulation climatique

Chaque été, c’est la même mise en scène : le thermomètre grimpe, les cartes météo rougissent, et les experts en climat se relaient pour sonner l’alarme. Pourtant, la chaleur n’a rien de nouveau. Ce qui est inédit, c’est la manière dont on s’en sert. Depuis deux siècles, l’Europe transpire régulièrement sous des canicules sévères — mais jamais la météo n’avait servi à restreindre les libertés. Et si le véritable danger n’était pas le soleil, mais l’idéologie qu’on construit dans son ombre ?